"C'est le malaise du moment
L'épidémie qui s'étend
La fête est finie on descend
Les pensées qui glacent la raison
Paupières baissées, visage gris
On ouvre le loquet de la grille
Du taudit qu'on appelle Maison
Protège-moi, protège-moi
Protège-moi de mes désirs
Sommes nous les jouets du destin
Souviens toi des moments divins
Planants, éclatés au matin
Et maintenant nous sommes tout seul
Perdus les rêves de s'aimer
Le temps où on avait rien fait
Il nous reste toute une vie pour pleurer
Et maintenant nous sommes tout seul"
(...)
Ah ta, muito lecal. ^^
ResponderExcluirLá no fim do ano, qnd eu já tiver ao menos 1 semestre de Francês, eu volto e leio o post.
aliás, fiz a incrição, Ta! *-*